Je me souviens d'avoir vu à la cinémathèque, en compagnie de Césaire, The Wind de Victor Sjöström. La lumière revint.
S'était-il reconnu dans la pâleur de Lillian Gish debout dans le vent ? S'était-il souvenu de septembre l'accoucheur de cyclones, du vent de jadis qui s'élève... au bout du petit matin.