Ruines circulaires

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Commentaires

Le mardi 27 décembre 2005 à 14:23, par Scanner :

« Ill » for Illinois, pour Illustre, parà Illusion… ou : Illness ?

Pace e Salute (to the fools on the… ills).

Le mardi 27 décembre 2005 à 14:42, par Thomas Dunson :

"We brought nothing into this world and it's certain we can carry nothing out."

Le mardi 27 décembre 2005 à 15:06, par Rayon laser :

Lisons Cioran, ça passera tout seul.

Le mardi 27 décembre 2005 à 15:14, par Hippocrate (Medecin référent) :

Cioran et un normogastril

Le mardi 27 décembre 2005 à 18:35, par Mauricette Beaussart :: site :

Tout comme Cioran, le normogastril a été retiré de ce monde.

Le mardi 27 décembre 2005 à 23:14, par Scannexomil :

« Retiré de ce monde » cela signifie-t-il « carried out » ?
By whom, alors ? Par Joyce, par Chesterton ?
Grunch grunch und… 'Night.

Le mercredi 28 décembre 2005 à 10:49, par Tlön :

C'est tiré d'une scène de Red river. Extrait du dialogue dit par Thomas Dunson, the duke himself. A ma connaisance la seule (?) citatation biblique chez Hawks.

Le mercredi 28 décembre 2005 à 11:08, par Scanner :

J'avais underStood Up (Ricky Nelson), cela.
Ma feinte night périgrination rebondissait on Mauricette's spiritual word.
Euh… Mister T, Sergeant York la Bible en main retiring for a while par les monts, wondering about going at war alors qu'il est pacifique, ne nous récite-t-il pas un p'tit verset sur le versant de sa colline ?
Inquiry, per favore.

Le mercredi 28 décembre 2005 à 16:46, par Tlön :

Certes mais le contexte est différend, il cite directement la bible qu'il a en main.
Par contre via imdb je trouve
York : Therefore render unto Caesar the things that are Caesar's and unto God the things that are God's (marc 12 17).
Le personnage reprend il la citation à son compte ? je ne me souviens plus de la scène...

Le jeudi 29 décembre 2005 à 00:42, par Scanner :

Ça m'semble coller avec la scène du passage à la montagne, with the Bible in his hands.
Absolument pas certain.
Mais sûr qu'on entend ceci, par ailleurs : « The Lord sure does move in mysterious ways » ou approchant.

Le jeudi 29 décembre 2005 à 00:48, par Scanner :

Sans compter le prêche de Walter Brennan opening « Sergeant York ». Le seul pasteur character chez Hawks ?

Le jeudi 29 décembre 2005 à 02:03, par Damien :

Il y en a un aussi dans "Bringing up Baby", il me semble...

Le jeudi 29 décembre 2005 à 12:32, par Scanner :

Damien, I remember un shériff nut, un psy à l'olive, un chasseur exotique making a difference entre le cri du leopard et celui de la chouette, un joueur de golf responding to the name of « Mr. Peabody », un chien à celui de George, et two leopards… but no preature nor pastor. A moins que you're confusing Barry Fitzgerald, en gardien alcoolique aux visions « fauves » in the Hawks' movie, avec son rôle de pasteur dans « Going My Way » de McCarey, auquel cas y'vous s'ra beaucoup pardonné, my son…

Then Mister T., it seems que York cite Marc au retour de sa retraite, à son supérieur militaire, as a conclusion to his decision d'aller se battre, à la guerre comme à la guerre…
Ici : www.voicenet.com/~lpadill...

'Faut dire que chez York, la religion (as a commitment) vs la guerre (comme impératif), est la question fondamentale : as usual chez Hawks, la confrontation en action à une alternative comme « mysterious ways » du destin. Comme cheminement par excellence.

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